Jour des enfants…
J’ai donc réussi à amener les pièces nécessaires à l’obtention du passeport et à faire les différentes choses notées sur le programme.
Chercher les nouveaux tampons, déposer les pièces manquantes pour Barcarelle qui s’occupe d’éditer nos fiches de paye depuis janvier, me libérant enfin d’une charge et pas des moindres. Parallèlement, j’ai eu Sabine Putorti de l’Institut de l’Image à Aix en Provence et le projet du « ciné-concert » du 5 juin avance bien. Elle a trouvé une copie d' »Histoire d’Herbes Flottantes », la version noir et blanc et muette du film d’Ozu qui retrace la vie d’une troupe de théâtre ambulant. A priori, c’est Marc Barnaud et Gilles Geenen qui feront la musique.
C’est en cours…
Mauvaise nouvelle : La Tour d’Aigues risque de ne pas prendre « Atsumori » pour l’ouverture de son festival. Pas assez « vendeur » comme spectacle. Jean n’arrive plus à imposer sa ligne artistique. Les affaires vont mal. C’est le bureau qui devient décisionnaire… A voir quand même. Parce que s’ils veulent faire venir des grosses prod, il va falloir qu’ils payent beaucoup plus cher et qu’ils assurent une technique qui n’est pas de mise au château habituellement. Je garde donc un secret espoir.
Du côté des « sponsors », toujours rien. Personne ne semble intéressé par le sort de ce théâtre. (Je parle ici du Théâtre Nô d’Aix en Provence, le seul théâtre Nô bâti au monde hors de l’archipel du Japon !!!). Ca risque d’être encore La Maison du Japon en Méditerranée qui en assumera les frais. J’ai peur que ce soit la goutte d’eau qui fasse débroder le vase. Nous sommes déjà à 7000 euros pour « Atsumori » et il en faudra encore 5000 pour le Théâtre. Soit un budget global plus important que celui de Maître Kano qui, pour sa venue en France avec ses 20 acteurs, en reçoit 10 000.
Et en même temps, si nous ne trouvons pas cet argent rapidement, nous n’arriverons pas à construire la structure et le théâtre restera ce lieu anonyme, malgré tous les efforts fournis. J’enrage.
Bon… il faut que j’emmène Rose à son cours d’équitation. Je file !
P.S. Je mettrai en ligne des photos du projet pour le Théâtre Nô. Vous verrez, ça vaudrait vraiment le coup… un écrin pour cet outils incroyable et sans prix, cette merveille…
J’ai donc réussi à amener les pièces nécessaires à l’obtention du passeport et à faire les différentes choses notées sur le programme.
Chercher les nouveaux tampons, déposer les pièces manquantes pour Barcarelle qui s’occupe d’éditer nos fiches de paye depuis janvier, me libérant enfin d’une charge et pas des moindres. Parallèlement, j’ai eu Sabine Putorti de l’Institut de l’Image à Aix en Provence et le projet du « ciné-concert » du 5 juin avance bien. Elle a trouvé une copie d' »Histoire d’Herbes Flottantes », la version noir et blanc et muette du film d’Ozu qui retrace la vie d’une troupe de théâtre ambulant. A priori, c’est Marc Barnaud et Gilles Geenen qui feront la musique.
C’est en cours…
Mauvaise nouvelle : La Tour d’Aigues risque de ne pas prendre « Atsumori » pour l’ouverture de son festival. Pas assez « vendeur » comme spectacle. Jean n’arrive plus à imposer sa ligne artistique. Les affaires vont mal. C’est le bureau qui devient décisionnaire… A voir quand même. Parce que s’ils veulent faire venir des grosses prod, il va falloir qu’ils payent beaucoup plus cher et qu’ils assurent une technique qui n’est pas de mise au château habituellement. Je garde donc un secret espoir.
Du côté des « sponsors », toujours rien. Personne ne semble intéressé par le sort de ce théâtre. (Je parle ici du Théâtre Nô d’Aix en Provence, le seul théâtre Nô bâti au monde hors de l’archipel du Japon !!!). Ca risque d’être encore La Maison du Japon en Méditerranée qui en assumera les frais. J’ai peur que ce soit la goutte d’eau qui fasse débroder le vase. Nous sommes déjà à 7000 euros pour « Atsumori » et il en faudra encore 5000 pour le Théâtre. Soit un budget global plus important que celui de Maître Kano qui, pour sa venue en France avec ses 20 acteurs, en reçoit 10 000.
Et en même temps, si nous ne trouvons pas cet argent rapidement, nous n’arriverons pas à construire la structure et le théâtre restera ce lieu anonyme, malgré tous les efforts fournis. J’enrage.
Bon… il faut que j’emmène Rose à son cours d’équitation. Je file !
P.S. Je mettrai en ligne des photos du projet pour le Théâtre Nô. Vous verrez, ça vaudrait vraiment le coup… un écrin pour cet outils incroyable et sans prix, cette merveille…